Les motoneigistes se promènent de soir et de nuit d’un relais à l’autre, d’une auberge à l’autre et, très souvent, d’une pourvoirie à l’autre.
«Ça nous inquiète», commente Marc Plourde, président- directeur général de la Fédération des pourvoyeurs du Québec, dont plusieurs membres ont besoin des motoneigistes pour boucler leur année financière.
«C’est déjà assez coûteux d’ouvrir une pourvoirie l’hiver, dit-il, s’il faut qu’on perde des clients en plus…»
Pour se rendre à une pourvoirie qui se trouve à deux heures de la maison, dit-il, il faudra donc quitter l’établissement avant 20 heures pour rentrer «légalement» à la maison, donne-t-il en guise d’exemple.
«C’est loin d’être évident», dit-il.
Dossiers : Projet de loi sur les VHR
(2010-09-28) – Les Clubs de Motoneigistes appuient la FCMQ dans son opposition face au projet de loi