Pour faire ses travaux scolaires? Parfois… mais la plupart du temps, c’est pour travailler sur QUIETS, une motoneige écologique.
«Le dernier semestre, je passais facilement 25-30 heures par semaine au club même pendant les examens», a expliqué Jasmin à La Presse quelques jours après le jour de l’An, alors qu’il avait déjà recommencé à travailler sur la motoneige.
Avec la compétition qui se tiendra en mars, au Michigan, pas question de ralentir la cadence. Pourtant, les résultats scolaires de Jasmin n’ont pas décliné depuis qu’il est entré dans le club étudiant lors de sa deuxième année de baccalauréat en génie mécanique.
D’après Yves Beauchamp, directeur général de l’ETS, il ne fait pas exception.
«Les étudiants qui font partie des clubs n’ont pas de moins bonnes performances que les autres, au contraire même! Ils sont souvent parmi nos meilleurs. Avec les clubs, ils apprennent entre autres à mieux gérer leur temps», explique-t-il.