Table des matières
Toggle- L’évolution constante des vêtements PEAK au fil de mes trois saisons d’essais
- Confort thermique optimal
- Les atouts de l’Oeketex pour les motoneigistes
- Les bretelles perfectionnées des combinaisons PEAK
- Comparaison entre les combinaisons PEAK et la concurrence
- Comment Oeketex réinvente la norme
- Consultez d’autres essais de vêtements ici:
Chers amateurs de motoneige, aujourd’hui, je souhaite vous parler de mon expérience avec la combinaison monopièce de la marque PEAKouterwear, une entreprise enracinée dans les Monts-Valin, au Québec.
Lors de la saison précédente, j’ai eu le plaisir de tester leur dernière création, la série W23, également connu sous le nom de vêtements de motoneige 2023.
L’évolution constante des vêtements PEAK au fil de mes trois saisons d’essais
C’était ma troisième saison consécutive à essayer les vêtements PEAK. Chaque année, des améliorations notables ont été apportées, que c’est au niveau des matériaux utilisés.
Les deux premières années, c’était le Teslan, tandis que la série W23 utilise l’Oeketex. L’isolant de choix, le magnifique 3M Thinsulate, est resté le même depuis le début.
De plus, des améliorations ont été apportées aux bretelles, de nombreuses poches ont été ajoutées à l’extérieur et à l’intérieur. Des crochets ont été intégrés aux pantalons, et bien d’autres caractéristiques font de ces monopièces des équipements exceptionnels.
Confort thermique optimal
Étant donné que je pratique la motoneige dans les Monts-Valin (à mon chalet), où les températures sont en moyenne plus basses que dans les régions plus au sud du Québec ou dans les Rocheuses, je choisis toujours de tester les monopièces « semi-isolés ». J’opte pour un isolant de 60g à 140g en Thinsulate 3M.
Ainsi, je reste toujours au chaud sans risquer d’avoir trop chaud, grâce à l’excellente évacuation de l’humidité par l’isolant de qualité supérieure.
Les atouts de l’Oeketex pour les motoneigistes
L’Oeketex, le matériau extérieur, présente de nombreuses caractéristiques souhaitables. Il est à la fois imperméable et respirant, tout en offrant une grande résistance aux déchirures, ce qui est essentiel lorsque l’on passe souvent près de buissons ou d’arbres lors de randonnées.
Ce que j’apprécie le plus, c’est son aspect visuel qui ajoute une touche de raffinement, une qualité essentielle dans le monde des vêtements de motoneige de haut niveau.
Les bretelles perfectionnées des combinaisons PEAK
PEAK a mis l’accent sur les bretelles, ce qui rend la combinaison monopièce incroyablement confortable. Les bretelles sont plus larges et doublées pour répartir le poids de manière à ce que l’habit se sente comme une seconde peau.
Cette saison, ils ont également inclus une attache détachable pour relier les bretelles à la poitrine, améliorant ainsi le confort, et les bretelles restent bien en place toute la journée.
Comparaison entre les combinaisons PEAK et la concurrence
J’ai d’autres combinaisons de la concurrence, dont une coquille non isolée, qui me gêne lorsque je veux la porter, car il faut au moins trois couches en dessous pour ne pas avoir froid lors des randonnées. En revanche, avec mes vêtements PEAK, il est si facile de s’habiller en couches.
Je porte un gilet technique à manches longues sous ma combinaison, ce qui me permet de me sentir libre dans mes mouvements et de ne pas ressembler à un bonhomme Michelin engoncé sous des couches de vêtements.
Comment Oeketex réinvente la norme
Je vous recommande vivement les combinaisons monopièces de chez PEAK, car elles sont synonymes d’excellence, de confort, de chaleur et de sécheresse, quel que soit le froid.
J’attends déjà avec impatience les randonnées de début de saison, lors desquelles je pourrai profiter de l’aération grâce aux nombreuses fermetures éclair pour me rafraîchir.
Avec l’Oeketex, PEAK a vraiment réussi, et tout le monde apprécie son aspect visuel. La concurrence a du pain sur la planche pour proposer un produit aussi performant que PEAK Outerwear.
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