- Se référer au manuel de l’opérateur
- Moteur
- Remplacer les bougies
- Vérifier le réglage de la pompe à l’huile
- Nettoyer le filtre à air
- État de la courroie d’entraînement
- Vérifier la tension de la chaîne d’entraînement
- Vérification du niveau des fluides (huile à injection, freins, liquide de refroidissement)
- État du démarreur (corde)
- Général
- État général du véhicule (pièces bien fixées…)
- Inspection visuelle
- Graissage
- Contrôles
- Vérifier fonctionnement manette d’accélérateur et "choke"
- Lumières hautes et basses
- Interrupteur d’urgence
- Pièces d’usure
- Lisses de ski
- Glissières
- État de la chenille
- Électrique
- Fixation de la batterie
- Branchement
- Pouce et poignées chauffantes
Ça ressemble pas mal à ce que M et Mme Bricole peut faire facilement chez lui.
2e Étape Le concessionnaire
Pour ceux qui vont chez le concessionnaire, voici un petit aperçu de l’inspection avec le coût qui varie selon les concessionnaires.
L’inspection en 53 points incluant le remplacement des bougies, filtre et graissage pour environ 200$ (variant selon modèle et cylindrée).
Évidemment, le mécanicien va beaucoup plus loin et vérifie le taux de compression, nettoie les soupapes (RAVE), vérifie le système de refroidissement, les freins, la suspension et plus. Le mécanicien s’assure aussi d’un travail bien fait avec des outils spécialisés.
De plus, la manière dont la motoneige a été remisée au printemps sera déterminante dans les pannes de début de saison. La grande majorité des défectuosités mécaniques sont reliées au mauvais remisage de la motoneige. L’essence qui s’évapore laisse des dépôts dans les conduits, ce qui peut obstruer des orifices et causer des bris moteurs importants. Il est donc d’autant plus important de faire faire un entretien par un technicien qualifié lorsqu’aucun remisage n’a été fait sur la motoneige.