Les adeptes de motoneige sont beaucoup plus sages que leurs camarades pilotes de VTT et de motocyclette.
Contrairement à ces derniers, ils ne se blessent pas plus souvent qu’il y a huit ans en pratiquant leur sport, et leurs blessures ne sont pas plus graves. Et ce, malgré une augmentation du nombre de motoneiges sur les sentiers.
«C’est vraiment une très bonne nouvelle», lance la porte-parole de la Fédération des clubs motoneigistes du Québec, Audrey Brossard, ravie de constater que les récentes campagnes de sensibilisations menées auprès des membres ont porté leurs fruits.
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