Poser
la question, c’est y répondre : « A-t-on les moyens de perdre une
industrie qui, chaque année, engendre des retombées économiques
directes de près de 55 millions $ dans les deux seules régions
de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches ? »
la question, c’est y répondre : « A-t-on les moyens de perdre une
industrie qui, chaque année, engendre des retombées économiques
directes de près de 55 millions $ dans les deux seules régions
de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches ? »
Évidemment
non, répondent en chœur les ténors de l’industrie touristique
pour qui la motoneige est un produit d’appel pour la promotion de Québec
en hiver.
Les derniers
chiffres disponibles sur l’impact de l’industrie de la motoneige sont très
explicites : le grand Québec-Charlevoix, avec un réseau de 2179
kilomètres, a empoché 29 932 500 $, en 2003, de la part des usagers,
visiteurs ou locaux de la motoneige, alors que la région de Chaudière-Appalaches,
avec ses 2783 kilomètres de pistes qui s’étalent jusqu’aux frontières
américaines, chiffre ses retombées à 24 100 000 $ pour
la même période.